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C'est parti

La fable

La laitière et le pot au lait

Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait
Bien posé sur un coussinet,
Prétendait arriver sans encombre à la ville.
Légère et court vêtue elle allait à grands pas ;
5 Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile,
Cotillon simple, et souliers plats.
Notre laitière ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
Tout le prix de son lait, en employait l'argent,
10 Achetait un cent d'œufs, faisait triple couvée ;
La chose allait à bien par son soin diligent.
Il m'est, disait-elle, facile,
D'élever des poulets autour de ma maison :
Le Renard sera bien habile,

15 S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon.
Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ;
Il était quand je l'eus de grosseur raisonnable :
J'aurai le revendant de l'argent bel et bon.
Et qui m'empêchera de mettre en notre étable,

20Vu le prix dont il est, une vache et son veau,
Que je verrai sauter au milieu du troupeau ?
Perrette là-dessus saute aussi, transportée.
Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ;
La dame de ces biens, quittant d'un œil marri
25 Sa fortune ainsi répandue,
Va s'excuser à son mari
En grand danger d'être battue.
Le récit en farce en fut fait ;
On l'appela le Pot au lait.

30 Quel esprit ne bat la campagne ?
Qui ne fait châteaux en Espagne ?
Picrochole, Pyrrhus, la Laitière, enfin tous,
Autant les sages que les fous ?
Chacun songe en veillant, il n'est rien de plus doux :
35 Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes :
Tout le bien du monde est à nous,
Tous les honneurs, toutes les femmes.
Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ;
Je m'écarte, je vais détrôner le Sophi ;
40 On m'élit roi, mon peuple m'aime ;
Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant :
Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ;

Je suis gros Jean comme devant.

Fables, Jean de La Fontaine

Quelles sont les caractéristique du genre de la fable ?
Jean de la Fontaine est sans aucun doute le plus grand représentant du genre de la fable en France !

Méthode du commentaire composé en poésie

Avant la lecture

Étude du paratexte

Il faut étudier le paratexte, c'est-à-dire le titre, de l'auteur, de la date, etc. Ces informations doivent être recoupées avec vos connaissances émanant du cours (courant littéraire, poète, recueil, etc.). Le titre engage également vers des attentes. Il donne des indices sur la nature du poème que le lecteur s'apprête à lire. En poésie, la forme est décisive : regarder le texte « de loin » permet d'avoir déjà une idée de la démarche du poète :

  • Vers, strophes ?
  • Si vers : vers réguliers, vers libres ?
  • Si vers réguliers : quel type de rimes ?
  • Le nombre de strophes

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Pour la lecture

Nous vous conseillons de lire le poème plusieurs fois, avec un stylo à la main qui vous permettra de noter ou souligner une découverte, une idée. 1ère lecture :

  • Identifier le thème général du poème
  • Identifier le registre : comique ? pathétique ? lyrique ? etc.
  • Identifier les procédés d'écriture pour diffuser le sentiment du registre choisi : l'exclamation ? La diérèse ? etc.

2ème lecture :

  • Dégager le champ lexical
  • Place des mots : un mot au début du vers n'a pas la même valeur qu'un mot placé en fin de vers
  • Déceler les figures de style (généralement très nombreuses dans un poème)
  • Travail sur les rimes : lien entre des mots qui riment, rimes riches ou faibles, etc.
  • Analyse du rythme avec les règles de métriques

En filigrane, vous devez garder cette question en tête pour l'analyse des procédés d'écriture : comme le poète diffuse-t-il son thème général et comment fait-il ressentir au lecteur ses émotions ?

Rédaction du commentaire

Partie du commentaireViséeInformations indispensablesÉcueils à éviter
Introduction- Présenter et situer le poète dans l'histoire de la littérature
- Présenter et situer le poème dans le recueil
- Présenter le projet de lecture (= annonce de la problématique)
- Présenter le plan (généralement, deux axes)
- Renseignements brefs sur l'auteur
- Localisation poème dans le recueil (début ? Milieu ? Fin ? Quelle partie du recueil ?)
- Problématique (En quoi… ? Dans quelle mesure… ?)
- Les axes de réflexions
- Ne pas problématiser
- Utiliser des formules trop lourdes pour la présentation de l'auteur
Développement- Expliquer le poème le plus exhaustivement possible
- Argumenter pour justifier ses interprétations (le commentaire composé est un texte argumentatif)
- Etude de la forme (champs lexicaux, figures de styles, rimes, métrique, etc.)
- Etude du fond (ne jamais perdre de vue le fond)
- Les transitions entre chaque idée/partie
- Construire le plan sur l'opposition fond/forme : chacune des parties doit contenir des deux
- Suivre le déroulement du poème, raconter l'histoire, paraphraser
- Ne pas commenter les citations utilisées
Conclusion- Dresser le bilan
- Exprimer clairement ses conclusions
- Elargir ses réflexions par une ouverture (lien avec un autre poème, un autre poète ? etc.)
- Les conclusions de l'argumentation- Répéter simplement ce qui a précédé

Ici, nous détaillerons par l'italique ou par titre les différents moments du développement, mais ils ne sont normalement pas à signaler. De même, il ne doit pas figurer de tableaux dans votre commentaire composé. Les listes à puces sont également à éviter, tout spécialement pour l'annonce du plan.

En outre, nous visons ici à une exhaustivité de l'analyse. Vos commentaires composés ne doivent pas être aussi longs que celui ici donné en exemple ; vous manquerez dans tous les cas de temps pour écrire autant !

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Commentaire de la fable

Introduction

Jean de la Fontaine est un fabuliste du XVIIème siècle. Ses fables sont écrites pour la cour, dans le but de « plaire et instruire ». Il met à cette fin en scène des animaux anthropomorphes qui représentent des archétypes humains ou sociaux et révèlent en ceci les travers des Hommes.

Ceci étant dit, la fable qui nous occupe ici, « La laitière et le pot de lait » ne contient aucun animal. La Fontaine évoque plutôt une laitière partant au marché pour aller vendre son pot de lait. En chemin, elle s'imagine tout l'argent qu'elle pourra tirer de sa vente. Mais elle finit par tomber et par casser son récipient.

Annonce de la problématique 

Comment La Fontaine utilise-t-il sa fable pour mettre en lumière des vices de son temps ?

Annonce des axes 

Nous verrons dans un premier temps en quoi cet apologue est traditionnel. Dans un second temps, il s'agira d'analyser la critique sociale permise par celui-ci.

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Développement

Un apologue traditionnel

Un apologue est un court récit se terminant par une morale. Or, « La laitière et le pot au lait » correspond à cette forme littéraire.

A qui La fontaine destinait-il ses fables ?
Louis XIV and His Family, Nicolas de Largillierre, 1710
Un récit dynamique

Le récit, d’abord, est lui-même composé de plusieurs étapes :

  • vers 1 à 11 : récit ; le poète présente Perette, avec l’imparfait et de nombreux adjectifs
  • vers 12 à 21 : discours direct où le lecteur lit les pensées de la laitière
  • vers 22 à 27 : récit ; brusque retour à la réalité, avec présent d’énonciation et dénouement de l’histoire
  • vers 28 à 29 : récit ; Perette et son histoire deviennent une « farce » mémorable

Surtout, ce récit vise à plaire, conformément au rôle d’une fable, qui doit « plaire et instruire ».

Ainsi, le lecteur se sent proche de Perette, et ce pour au moins deux raisons :

  • elle est décrite par touches minutieuses, avec de nombreux adjectifs : « légère », « agile », « troussée », « diligent », etc.
  • création d’une proximité affective avec l’utilisation de diminutifs : « Pierrette », « coussinet » et l’adjectif possessif « notre » dans le vers « Notre laitière ainsi troussée »

Enfin, ce récit est plaisant par la rapidité de son rythme :

  • alternance d’alexandrins (12 pieds) et d’octosyllabes (8 pieds), qui dynamisent l’action
  • les verbes de mouvements au présent qui donnent une actualité au récit et font se mouvoir les personnages dans la tête du lecteur : « allait », « saute », « tombe », etc.
  • les participes présents (« ayant ») tout comme le style direct
  • les effets de rime à l’intérieur des vers, qui créent une accélération rythmique, comme pour une chanson, et accélèrent du même coup l’action : « bien posé sur un coussinet » ou « Je suis gros Jean comme devant »

Mais cette fable devient un apologue à partir du moment où elle instruit : c’est le rôle de la morale.

Une morale moins traditionnelle

La morale commence au vers 30. Elle est implicite et souligne les dangers de l’imagination par les dérives qu’elle provoque. Mais elle est originale au moins par deux points :

  • elle est longue de 14 vers, ce qui est particulièrement important
  • elle contient un récit concernant l’auteur lui-même : 6 occurrences de « je » et les pronoms possessifs « mon » ou « ma »

En outre, il fait mention de son propre prénom dans le vers concluant la fable :

« Je suis gros Jean comme devant. »

C’est que cette fable invite à deux analyses : l’une étant la fable comme une critique sociale – chose assez commune pour une fable de La Fontaine -, l’autre étant de voir la fable comme la manifestation d’une idée propre à La Fontaine.

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Que raconte la fable La laitière et le pot de lait ?
Martin Drolling, La Petite Laitière, XVIIIème siècle

Une critique des idéaux de sa société

Cette fable est avant tout une satire sociale. Il faut ainsi voir un archétype paysan en la personne de Perette. Elle n’est jamais nommée comme telle, si ce n’est « laitière », mais son activité et sa rêverie nous montrent bien sa position sociale.

Le matérialisme mis en cause

Du vers 7 au vers 23, Perette s’imagine tout ce que pourrait lui rapporter son pot de lait.

On trouve ainsi, dans ce passage, le champ lexical de l’économie : « comptait », « prix », « argent », « achetait », « coûtera », « revendant », « prix », « fortune », etc.

En plus de son omniprésence, l’argent est présenté sous un jour très positif, comme dans le vers 18 :

« J'aurai le revendant de l'argent bel et bon. »

L’avidité vénale de la laitière est mise en valeur par plusieurs autres procédés :

  • champ lexical de la rapidité : « à grand pas », « déjà », « plus agile », etc.
  • utilisation du futur au lieu du conditionnel dans sa rêverie : « sera », « coûtera », « empêchera »
  • champ lexical de la confiance : « soin diligent », « facile », « s’il ne m’en laisse », « qui m’empêchera », « transportée »
  • figures hyperboliques : « cent d’œufs », « triple couvée », « des poulets », « grosseur raisonnable », « troupeau »

Et puis, enfin, toute la rêverie de Perette est fondée sur une énumération qui a un effet d’amplification. Elle rêve toujours plus grand : d’abord « cent d’œufs », qui deviennent « des poulets », qui deviennent « un cochon », se transformant en « argent bel et bon », qui permet d’acheter « une vache et son veau ».

Perette est ainsi présentée comme avide d’argent, rêvant sa richesse pour une plus grande richesse. La rêverie, au lieu de favoriser la spiritualité, amène Perette à s’imaginer plus grande propriétaire. Par là, La Fontaine critique une société qu’il juge matérialiste.

Cette critique devient une satire à partir du moment où La Fontaine tourne en dérision la paysanne. En effet, il présente son personnage sous un jour comique. Plusieurs marqueurs l’aident en ce sens.

  • vers 1 à 28 : tonalité humoristique, avec un rythme rapide, qui suit la rapidité de la marche de Perette
  • le « prétendait » montre qu’elle s’imagine être quelque chose qui ne correspond pas à sa réalité
  • « La dame de ces biens » au vers 24, qui a une tonalité prestigieuse, qui rompt avec le statut de simple paysanne de Perette, qui s’imagine en grande propriétaire : procédé ironique
  • les temps verbaux qui mêlent présent, futur et imparfait et marquent la confusion de Perette entre rêve et réalité

Mais c’est surtout par la chute (au sens propre comme au sens figuré) que le récit recouvre toute sa saveur comique : La Fontaine use d’une polyptote (répétition de plusieurs mots avec une même racine, ou d’un même verbe sous différents sens) entre les vers 20 et 22 :

  « Vu le prix dont il est, une vache et son veau,
Que je verrai sauter au milieu du troupeau ?
Perrette là-dessus saute aussi, transportée. »

Par la reprise du verbe « saute », Perette devient elle-même le veau, ce qui la rend autant dénuée de réflexion et de spiritualité que l’animal. Et le poète reprend ensuite toutes les étapes de la rêverie en un seul vers, et d’une manière inversée :

« Le lait tombe : adieu veau, vache, cochon, couvée »

Il souligne ainsi la rapidité avec laquelle toute la rêverie s’effondre et par là, son caractère irréaliste ou, à tout le moins, très fragile. C’est en dire toute la vanité, comme lorsqu’il utilise la formule :

« Sa fortune ainsi répandue »

Car par « sa fortune », il utilise une métaphore pour désigner « le lait », qui a une valeur comique. En effet, qui peut vraiment dire que le lait est une réelle fortune ? Il se moque de ses aspirations irréelles, et appelle bien ce qu’il vient de décrire une « farce » pour clore son récit.

Comment est présentée Perette par La Fontaine ?
Le Rêve, Gustave Courbet, 1844

Mais par la morale qui suit, le récit prend également un sens – justement – moral : c’est une critique du narcissisme.

La critique du narcissisme

Dans la morale finale, La Fontaine généralise son récit et l’attitude de Pierrette par le pronom relatif et interrogatif : « Qui ». Il interpelle son lecteur et le met face à ses propres rêveries. Il continue cette responsabilisation aux vers suivants via trois procédés :

  • l’énumération « Picrochole, Pyrrhus, la Laitière, enfin tous, » où il fait référence à des personnages à la fois fictionnelles (Pichrochole et la Laitière) et historiques, jusqu’au « tous » final, pour montrer que tout le monde est victime de ce genre de rêverie mégalomane
  • l’utilisation de « chacun » qui fait le lecteur se sentir concerné
  • l’utilisation du pronom personnel « nous », où La Fontaine s’inclut lui-même
  • les déterminants « tout » et « tous » qui créent un effet d’amplification

D’une certaine manière, La Fontaine critique les élans héroïques de tout un chacun en utilisant le champ lexical de l’héroïsme : « bat la campagne », « châteaux », « Pyrrhus », « honneurs », « défi », « Sophi », « Roi », « diadèmes ». Le registre épique, propre à cette idée d’héroïsme, est révélateur d’une imagination débordante.

Il s’intègre lui-même à la critique par la formule « Quand je suis seul », et fait le parallèle avec la laitière qui, elle aussi, était seule durant le récit.

Il y a ainsi un décalage entre la grandeur de l’imagination, caractérisée ici par l’héroïsme, et la réalité, signifié par « quelque accident », qui rappelle que le hasard détermine avant tout la destinée. Ce dernier vers, qui vient conclure l’élan épique, est à rapprocher, dans sa concision, de celui qui mettait fin à la rêverie de la laitière. Là encore, il y a généralisation : La Fontaine dit bien : « Nous sommes tous les mêmes ».

Le décalage est encore souligné par l’ultime vers où La Fontaine fait référence à « gros Jean », qui est un personnage de chanson populaire – et donc en opposition avec le haut style de l’épopée et les personnages cités avant.

De fait, ces contrastes dénoncent le narcissisme que l’imagination provoque. L’omniprésence du « je » met bien en valeur l’égocentrisme créé par l’imagination.

Quelle est la solution alors donnée par La Fontaine ? Elle se situe dans une modestie face au « quelque accident » de la vie : il faut rentrer en soi-mêmefait-il que je rentre en moi-même ») ; c’est-à-dire, être conscient de ce qu’on est, et adopter la posture du sage. C’est une invitation à la simplicité et à la connaissance de soi.

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Conclusion

La Fontaine entreprend dans cette fable une une considération d’ordre générale sur la nature humaine. Il s’élève ainsi au rang de moraliste, voire de philosophe.

En plaisant, par son récit comique, il instruit également, et met en garde contre les délires de l'imagination. Il a tellement fait date que l’expression « adieu, veau, vache, cochon » est devenue proverbiale...

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Nathan

Ancien étudiant de classe préparatoire b/l (que je recommande à tous les élèves avides de savoir, qui nous lisent ici) et passionné par la littérature, me voilà maintenant auto-entrepreneur pour mêler des activités professionnelles concrètes au sein du monde de l'entreprise, et étudiant en Master de Littératures Comparées pour garder les pieds dans le rêve des mots.